Lorsque la formation générale des jeunes ne convient plus…
Pour différentes raisons, il arrive que la formation générale au secondaire ne réponde pas aux besoins de certaines personnes qui souhaitent alors profiter d’un parcours différent et ainsi modifier le mode d’enseignement qui leur est offert.
C’est parfois le cas de jeunes qui éprouvent de grandes difficultés en formation générale dite « régulière » ou encore d’adultes qui souhaitent simplement compléter une formation ou des préalables nécessaires à un projet professionnel.
Attention…
La formation générale des adultes peut être une bonne alternative, toutefois, ce type de formation n’est pas fait pour tout le monde et il est important de bien s’informer avant de procéder à une inscription.
Les inscriptions peuvent se faire à tout moment dans l’année et la période de fin des études varie selon le rythme d’apprentissage de la personne.
À noter également qu’il peut aussi y avoir des groupes de même niveau et des cours magistraux. Cela dépend du centre de formation.
Ce type d’enseignement demande beaucoup d’autonomie et de volonté de la part de l’adulte et, contrairement à l’idée que s’en font plusieurs jeunes, ce n’est pas nécessairement plus « facile ».
Par ailleurs, l’horaire peut être de jour ou de soir, au choix de la personne. Il y a une possibilité de souplesse dans l’horaire si la personne a, par exemple, un emploi ou encore des contraintes médicales.
La FGA pour :
- Compléter ses études secondaires;
- Se préparer à la formation professionnelle;
- Se préparer à la formation collégiale;
- Apprendre les bases de la lecture, de l’écriture et des mathématiques;
- En tant qu’allophone, apprendre le français;
- Accéder au marché du travail;
- Obtenir une attestation d’équivalence de niveau de scolarité (AENS);
- Faire un test de développement général (TDG);
- Avoir une attestation des préalables scolaire (CCQ).
- de l’autonomie;
- le sens des responsabilités;
- le sens de l’organisation;
- de la discipline;
- de la maturité.
Inspiré d’un texte de Sonia Bourget, conseillère SARCA – CSDN